Savoir-faire oneiriens
Sur l'architecture en terres d'Oneira
Comme il en est dans tous les mondes, l'architecture oneirienne ne concerne pas que l'art, la culture ou l'identité d'un lieu ; elle est tributaire de l'environnement, du climat et des ressources locales autant que des besoins de ceux qui la conçoivent. Pratiquement chaque pays possède son propre style architectural. Au Roban, où les carrières sont innombrables et où la culture glorifie des valeurs de force et de solidité, on construit des maisons larges et imposantes en pierre à même de résister aux orages violents qui abondent dans la région, tout comme au passage du temps. Il se peut également qu'un même pays conçoive plusieurs styles architecturaux différents, en fonction des contraintes auxquelles sont soumises ses régions. A l'intérieur des terres du Pyrelos, où la pluie est abondante et les mouvements de terrain fréquents, on bâtit généralement une structure en colombages par-dessus un soubassement en pierre bleue locale (la kahrune), surmontés d'un toit à deux pans légèrement convexes, alors que sur la côte, où le vent maritime arracherait les tuiles et où les embruns rongeraient le bois, on bâtit en pierre nue et la pente du toit est moins prononcée, pour offrir moins de prise au vent. Sur les hauteurs où les hivers sont rigoureux, par exemple au Mëgen, la pente des toits est élevée pour éviter l'accumulation de la neige. En Ar'Mirë'Ys, où le sol est préservé pour favoriser la bonne santé de la forêt, on bâtit en bois et en toile dans la cime des arbres des maisons, des palais et de véritables villes aériennes dont les îlots sont joints par des passerelles flottantes.
Certaines régions se distinguent des autres par un style architectural plus prononcé. Sur l'île d'Istia, par exemple, qui est demeurée longtemps sans contact extérieur, on a développé un style unique fait de constructions aériennes et élégantes pourvues d'immenses ouvertures, aux toits arrondis touchant presque le sol.
Bien sûr, les humains ne sont pas les seuls à bâtir, et d'autres peuples possèdent leur propre architecture. Les nains taillent la pierre des sous-sols pour y creuser des villes semi-troglodytiques, les badilim ont pour usage de creuser les collines pour ajouter à leur maison les pièces supplémentaires dont ils pourraient avoir besoin. Les petits peuples, quant à eux, préfèrent le plus souvent tirer parti de la nature et aménagent généralement l'existant (troncs d'arbres creux, par exemple, ou encore rebuts humains : on a déjà observé des maisons de bérigans, par exemple, dans des chaussures, des citrouilles ou des pots de fleurs...). Dans certains cas, les humains ont emprunté à ces autres peuples leur architecture. En Mirë-Mean, où la population humaine côtoyait autrefois les grandes fées, la nature et l'architecture sont intimement mêlées. En Mar'Ev'Syra, où humains et badilim se partagent le territoire, on favorise des maisons de plain-pied, pour le confort des deux peuples.
Les emprunts architecturaux proviennent également du passé. En Ar'Thard, la pierre locale, la kahrok, est d'une solidité telle que certaines maisons datant des premiers temps des hommes sont encore habitées de nos jours, alors qu'elles ont plus de dix mille ans, aussi l'architecture n'a-t-elle que peu évolué en plusieurs millénaires (nous ne parlons pas ici de l'architecture d'Eshkor, qui est une notion magique, et non technique ou esthétique). Au Mirëli ou encore en Tor-Keralm, les humains se sont réapproprié les anciennes ruines eldevannes qui, pour gigantesques qu'elles soient, demeurent une source d'inspiration en terme d'esthétique comme d'ingéniosité.
D'un point de vue technique, les oneiriens ne connaissent que peu de limites en terme d'architecture. La maîtrise du verre est acquise et on apprécie de grandes et lumineuses ouvertures dans les façades dans les régions qui ne souffrent pas trop du froid (pas de grandes baies vitrées, mais des vitraux "blancs"). Par mesure de confort d'usage, on dépasse rarement cinq ou six étages pour les constructions imposantes, mais des systèmes d'ascenseurs à poulie ont déjà vu le jour, notamment dans les hautes tours du culte de l'Ordre, qui possèdent dix à vingt étages en hauteur, et autant en profondeur. Redécouvert après l'An 0, le ciment est toutefois mal perçu par les oneiriens qui ne l'emploient que pour des ouvrages strictement utilitaires. Le système de construction est habilement secondé par l'utilisation de la magie qui permet l'allègement des charges, la prise rapide du mortier, voire la solidification de certaines structures, ce qui permet des ouvrages plus imposants, plus hauts et plus aériens que ce que la physique seule et les matériaux ordinaires pourraient permettre.
Certaines régions se distinguent des autres par un style architectural plus prononcé. Sur l'île d'Istia, par exemple, qui est demeurée longtemps sans contact extérieur, on a développé un style unique fait de constructions aériennes et élégantes pourvues d'immenses ouvertures, aux toits arrondis touchant presque le sol.
Bien sûr, les humains ne sont pas les seuls à bâtir, et d'autres peuples possèdent leur propre architecture. Les nains taillent la pierre des sous-sols pour y creuser des villes semi-troglodytiques, les badilim ont pour usage de creuser les collines pour ajouter à leur maison les pièces supplémentaires dont ils pourraient avoir besoin. Les petits peuples, quant à eux, préfèrent le plus souvent tirer parti de la nature et aménagent généralement l'existant (troncs d'arbres creux, par exemple, ou encore rebuts humains : on a déjà observé des maisons de bérigans, par exemple, dans des chaussures, des citrouilles ou des pots de fleurs...). Dans certains cas, les humains ont emprunté à ces autres peuples leur architecture. En Mirë-Mean, où la population humaine côtoyait autrefois les grandes fées, la nature et l'architecture sont intimement mêlées. En Mar'Ev'Syra, où humains et badilim se partagent le territoire, on favorise des maisons de plain-pied, pour le confort des deux peuples.
Les emprunts architecturaux proviennent également du passé. En Ar'Thard, la pierre locale, la kahrok, est d'une solidité telle que certaines maisons datant des premiers temps des hommes sont encore habitées de nos jours, alors qu'elles ont plus de dix mille ans, aussi l'architecture n'a-t-elle que peu évolué en plusieurs millénaires (nous ne parlons pas ici de l'architecture d'Eshkor, qui est une notion magique, et non technique ou esthétique). Au Mirëli ou encore en Tor-Keralm, les humains se sont réapproprié les anciennes ruines eldevannes qui, pour gigantesques qu'elles soient, demeurent une source d'inspiration en terme d'esthétique comme d'ingéniosité.
D'un point de vue technique, les oneiriens ne connaissent que peu de limites en terme d'architecture. La maîtrise du verre est acquise et on apprécie de grandes et lumineuses ouvertures dans les façades dans les régions qui ne souffrent pas trop du froid (pas de grandes baies vitrées, mais des vitraux "blancs"). Par mesure de confort d'usage, on dépasse rarement cinq ou six étages pour les constructions imposantes, mais des systèmes d'ascenseurs à poulie ont déjà vu le jour, notamment dans les hautes tours du culte de l'Ordre, qui possèdent dix à vingt étages en hauteur, et autant en profondeur. Redécouvert après l'An 0, le ciment est toutefois mal perçu par les oneiriens qui ne l'emploient que pour des ouvrages strictement utilitaires. Le système de construction est habilement secondé par l'utilisation de la magie qui permet l'allègement des charges, la prise rapide du mortier, voire la solidification de certaines structures, ce qui permet des ouvrages plus imposants, plus hauts et plus aériens que ce que la physique seule et les matériaux ordinaires pourraient permettre.
Encyclopédie tome 307, page 7992 : Généralités architecturales.
Sur la technologie
La technologie est un domaine relativement figé sur Oneira, limitée qu'elle est par les facilités qu'offre l'existence et l'utilisation de la magie. La maîtrise des sources d'énergie élémentaires (eau, vent, force animale...) est acquise, d'autres ne sont utilisées que ponctuellement, et avec plus ou moins de succès (vapeur, chaleur...). On peut généralement considérer que les technologies connues dans le moyen-âge européen sont toutes maîtrisées sur Oneira, à l'exception de la poudre . Les sciences sont, en revanche, beaucoup plus avancées (la connaissance du corps humain, de ses mécanismes et des manières de prévoir et de guérir les maladies, par exemple, ou bien l'astronomie, la physique des forces (avec comme domaine d'application l'architecture, par exemple), etc.).
Petite liste absolument non-exhaustive des technologies oneiriennes :
Technologies agricoles : Il existe une grande variété d'outils agricoles facilitant le travail de la terre (charrue mue par des boeufs ou des chevaux, pressoirs, etc.). Moulins à eau et à vent sont utilisés pour moudre le grain, scier le bois, etc.
Construction : On sait utiliser la force du vent ou de l'eau pour découper la pierre. Des mécanismes avancés existent pour soulever les blocs lourds, comme des grues à roue. Le plâtre , la chaux , la brique, etc. sont d'autres techniques connues et maîtrisées.
Travail du métal : Là aussi, on utilise la force de l'eau et du vent pour remonter le minerai des mines, mais aussi pour faciliter le travail de la forge en actionnant par exemple les soufflets, voire des marteaux pour battre le métal. La maîtrise du feu est excellente, aussi sait-on générer de très hautes températures pour fondre ou obtenir des métaux plus résistants. Le savoir-faire acquis permet de fabriquer des outils et des objets d'une grande précision et d'une grande finesse (engrenages d'horlogerie ou matériel chirurgical, par exemple).
Technologies optiques : La maîtrise du verre permet la fabrication de lunettes, de loupes, de télescopes, de miroirs, de fenêtres et de vitraux.
Technologies textiles : Le métier à tisser à pédales existe. On sait obtenir une grande variété de tissus et de tissages issus de nombreuses matières (coton, lin, laine, soie, cuir, mais aussi d'autres plus exotiques, comme le fil d'araignée). La maîtrise des pigments est excellente et permet des teintures d'une grande qualité et d'une grande variété. Le bouton a été inventé et il est d'usage relativement courant, mais pas systématique. La broderie, la dentelle (de tricot, au crochet, au fuseau, à l'aiguille) sont extrêmement élaborés.
Technologies d'éclairage : On sait concevoir des chandelles  de grande qualité, qui sont les plus utilisées pour l'éclairage. La lampe à huile existe cependant, et elle est également d'un usage courant, voire équivalent, dans certaines régions ; très élaborée, elle ne cause aucun risque sanitaire. Les allumettes existent, ainsi que le briquet à amadou, mais pour allumer le feu les oneiriens leur préfèrent l'aenera , un artefact magique plus pratique, plus rapide et ne souffrant jamais de l'humidité.
Horlogerie, mécanismes, magnétisme : On sait concevoir des mécanismes très élaborés et précis qui ont permis entre autres instruments la création d'horloges. Les principes du magnétisme sont connus mais peu exploités, sauf pour les boussoles.
Musique : La conception d'instruments est un domaine technique très important et très avancé sur Oneira. Les instruments de musique sont variés et d'excellente qualité. Il existe quelques rarissimes clavecins.
Ecriture : On maîtrise parfaitement la fabrication du papier, dont on conçoit différentes variétés en fonction des besoins. D'excellentes encres existent également, aux couleurs riches et durables. Même si la plume d'oie est d'usage courant, on utilise également des plumes métalliques de grande qualité. La presse à imprimerie est connue et courante. Oneira est une grande consommatrice de livres, et pratiquement tous les oneiriens écrivent, tous les domaines liés à la lecture et à l'écriture sont donc particlièrement développés.
Peinture : On connaît sur Oneira de nombreux pigments, minéraux ou végétaux, qui permettent l'obtention de couleurs vives et durables. La peinture à l'huile est parfaitement maîtrisée.
Petite liste absolument non-exhaustive des technologies oneiriennes :
Technologies agricoles : Il existe une grande variété d'outils agricoles facilitant le travail de la terre (charrue mue par des boeufs ou des chevaux, pressoirs, etc.). Moulins à eau et à vent sont utilisés pour moudre le grain, scier le bois, etc.
Construction : On sait utiliser la force du vent ou de l'eau pour découper la pierre. Des mécanismes avancés existent pour soulever les blocs lourds, comme des grues à roue. Le plâtre , la chaux , la brique, etc. sont d'autres techniques connues et maîtrisées.
Travail du métal : Là aussi, on utilise la force de l'eau et du vent pour remonter le minerai des mines, mais aussi pour faciliter le travail de la forge en actionnant par exemple les soufflets, voire des marteaux pour battre le métal. La maîtrise du feu est excellente, aussi sait-on générer de très hautes températures pour fondre ou obtenir des métaux plus résistants. Le savoir-faire acquis permet de fabriquer des outils et des objets d'une grande précision et d'une grande finesse (engrenages d'horlogerie ou matériel chirurgical, par exemple).
Technologies optiques : La maîtrise du verre permet la fabrication de lunettes, de loupes, de télescopes, de miroirs, de fenêtres et de vitraux.
Technologies textiles : Le métier à tisser à pédales existe. On sait obtenir une grande variété de tissus et de tissages issus de nombreuses matières (coton, lin, laine, soie, cuir, mais aussi d'autres plus exotiques, comme le fil d'araignée). La maîtrise des pigments est excellente et permet des teintures d'une grande qualité et d'une grande variété. Le bouton a été inventé et il est d'usage relativement courant, mais pas systématique. La broderie, la dentelle (de tricot, au crochet, au fuseau, à l'aiguille) sont extrêmement élaborés.
Technologies d'éclairage : On sait concevoir des chandelles  de grande qualité, qui sont les plus utilisées pour l'éclairage. La lampe à huile existe cependant, et elle est également d'un usage courant, voire équivalent, dans certaines régions ; très élaborée, elle ne cause aucun risque sanitaire. Les allumettes existent, ainsi que le briquet à amadou, mais pour allumer le feu les oneiriens leur préfèrent l'aenera , un artefact magique plus pratique, plus rapide et ne souffrant jamais de l'humidité.
Horlogerie, mécanismes, magnétisme : On sait concevoir des mécanismes très élaborés et précis qui ont permis entre autres instruments la création d'horloges. Les principes du magnétisme sont connus mais peu exploités, sauf pour les boussoles.
Musique : La conception d'instruments est un domaine technique très important et très avancé sur Oneira. Les instruments de musique sont variés et d'excellente qualité. Il existe quelques rarissimes clavecins.
Ecriture : On maîtrise parfaitement la fabrication du papier, dont on conçoit différentes variétés en fonction des besoins. D'excellentes encres existent également, aux couleurs riches et durables. Même si la plume d'oie est d'usage courant, on utilise également des plumes métalliques de grande qualité. La presse à imprimerie est connue et courante. Oneira est une grande consommatrice de livres, et pratiquement tous les oneiriens écrivent, tous les domaines liés à la lecture et à l'écriture sont donc particlièrement développés.
Peinture : On connaît sur Oneira de nombreux pigments, minéraux ou végétaux, qui permettent l'obtention de couleurs vives et durables. La peinture à l'huile est parfaitement maîtrisée.
Sur la navigation maritime et la construction navale
Les sciences navales sont un domaine parfaitement maîtrisé par les humains d'Oneira, et ce depuis fort longtemps. Des instruments de mesure performants existent (tout le nécessaire - boussoles, sextants, compas, cartes maritimes détaillées, etc. - est à la disposition des marins oneiriens), la mécanique du ciel est connue et permet une navigation précise et sûre. On navigue sans peine et sans grand danger dans la grande mer intérieure, l'Oivan, dans laquelle les courants sont connus et modérés, les tempêtes relativement maîtrisables et les refuges nombreux. Il demeure cependant certains risques : pirates (surtout autour de l'Oel'Shek et du Roban) et corsaires (surtout du côté de l'Ar'Lumn) croisent dans les eaux intérieures, et les tempêtes magiques, si elles sont rares, sont pourtant dévastatrices.
Il n'existe pas vraiment de navires de plaisance (sauf excentriques ponctuels...), ni de bateaux destinés exclusivement au transport de voyageurs (sauf cas particuliers sur de courts trajets, comme les quelques bateaux assurant la liaison constante entre Illéranyne et le continent, par exemple). L'essentiel de la marine oneirienne se destine au transport de marchandises, à la guerre ou, beaucoup plus rarement, à l'exploration (géographique ou scientifique). Pratiquement tous les navires marchands sont cependant pourvus de cabines destinées à embarquer d'éventuels passagers.
Les techniques de construction navale sont relativement avancées. Il existe de très vastes chantiers à travers tout Oneira, lesquels produisent des navires modestes comme de véritables mastodontes. On peut croiser l'équivalent de goélettes, de frégates, de voiliers à trois, quatre ou cinq mâts. De petits navires rapides et maniables existent également, de type sloop ou brick. D'autres vaisseaux oneiriens n'ont pas d'équivalents dans notre monde, comme par exemple les barges des ténèbres, lesquelles survolent les flots grâce à la magie d'Eshkor. N'existent pas (ou plus), les catamarans, les trimarans, les navires à moteur ou à vapeur, les navires à rame (ces derniers étant progressivement remplacés par les voiliers et/ou la magie).
Il faut encore mentionner l'existence d'une très rare flotte de navire volants sur Oneira. La plus grande partie est attachée à la chaîne d'or d'Ar'Anena et se contente de faire l'aller-retour le long de celle-ci. D'autres, plus nombreux, ne dépassent pas la taille d'un cheval et fonctionnent uniquement grâce à la magie des petits peuples. Des légendes tenaces sur Oneira affirment qu'il existe cependant une poignée de véritables navires volants, probablement aux mains de pirates humains. Ces théories ne sont pas prouvées, même si on s'entend à les trouver vraisemblable.
Il n'existe pas vraiment de navires de plaisance (sauf excentriques ponctuels...), ni de bateaux destinés exclusivement au transport de voyageurs (sauf cas particuliers sur de courts trajets, comme les quelques bateaux assurant la liaison constante entre Illéranyne et le continent, par exemple). L'essentiel de la marine oneirienne se destine au transport de marchandises, à la guerre ou, beaucoup plus rarement, à l'exploration (géographique ou scientifique). Pratiquement tous les navires marchands sont cependant pourvus de cabines destinées à embarquer d'éventuels passagers.
Les techniques de construction navale sont relativement avancées. Il existe de très vastes chantiers à travers tout Oneira, lesquels produisent des navires modestes comme de véritables mastodontes. On peut croiser l'équivalent de goélettes, de frégates, de voiliers à trois, quatre ou cinq mâts. De petits navires rapides et maniables existent également, de type sloop ou brick. D'autres vaisseaux oneiriens n'ont pas d'équivalents dans notre monde, comme par exemple les barges des ténèbres, lesquelles survolent les flots grâce à la magie d'Eshkor. N'existent pas (ou plus), les catamarans, les trimarans, les navires à moteur ou à vapeur, les navires à rame (ces derniers étant progressivement remplacés par les voiliers et/ou la magie).
Il faut encore mentionner l'existence d'une très rare flotte de navire volants sur Oneira. La plus grande partie est attachée à la chaîne d'or d'Ar'Anena et se contente de faire l'aller-retour le long de celle-ci. D'autres, plus nombreux, ne dépassent pas la taille d'un cheval et fonctionnent uniquement grâce à la magie des petits peuples. Des légendes tenaces sur Oneira affirment qu'il existe cependant une poignée de véritables navires volants, probablement aux mains de pirates humains. Ces théories ne sont pas prouvées, même si on s'entend à les trouver vraisemblable.