A l'heure où le salon est déserté par la nouvelle vague d'étudiants de l'année, et où nous rejoignent quelques nouveaux membres IRCens, je lance un nouvel appel au recensement des vivants et des lecteurs du forum :o)
Manifestez-vous, et ditez-moi ce que vous faites, aimeriez faires ou ne faites pas pour Oneira en ce moment :o)
Erana, Dame de Brume, Biographe des membres du Synode d'Illéranyne.
Mallan, Compagnie d'Oneira
En tant que concerné au premier chef par la désertion du chan IRC - je l'ai fait moi-même :/ - je réponds (non sans remarquer que je suis le premier à le faire o_o ) à ton appel désespéré.
Bref, voilà un vivant en Oneira, mais pas si vivant que ça en Oneira, forcément.
Donc ce que je fais... j'enverrai le culte de la Mort avant les vacances de la Toussaint (enfin, j'espère que ce sera avant). Après, on avisera.
Hum hum hum.
Et bien pour ma part, j'ai pas vu de grand machin squeletique avec une grande faux et une GROSSE VOIX QUI FAIT PENSER A UNE CHUTE DE PIERRE TOMBALE SUR UNE CLOCHE FUNERAIRE. Ce qui m'incite a penser que ma foi, oui, je vis encore.
Quand a ce que je fais, le jdr avance, ne serai-ce que dans ma tête. Et même si un vague syndrome de la feuille blanche (feuille que je vais joyeusement preter a sugirva le temps de l'écriture d'un culte (trop bon je suis)) essaye de me ligoter les idées avec ce qu'il me reste de cervelle, j'ai bien l'intention de ne pas me laisser faire.
Enfin bref, comme dirait un savant fou parlant d'un gros bonhomme avec des clous dans la tête : "He is alive ! Alive !!!".
Et bien à vrai dire ce n'est pas que le papier qui me manquerait...
Si je passais autant de temps sur oneira que j'en passe au travail, je serai bien plus productif, mais je serais beaucoup plus maigre aussi...
Et encore moins vivant que je ne le suis déjà...
sugirva, sombre rien.
C'est bien beau tout ça, Oni, que le JDR avance dans ta tête, mais il va vraiment falloir le coucher par écrit - et tant pis s'il n'est pas consentant, rhah mais !
D'autant qu'il n'est certainement pas utile outre mesure de rappeler à ta mémoire défaillante la somme terrrrible de travail accumulée depuis des mois d'improduction patente :op
Gnierk gnierk, au travail !