Nihamar Chevalier Niveau 4 Ecuyer  Expérience : 574
éloge
j'éloge le sport et le combat, ne fuit ni l'effort ni les pêches melba,les marches d'escalier, j'en mange à tour de bras et je n'ai aucune "clémence" pour ceux qui ne sont pas comme moi!

fajir (acclamation)

Les lignes écrites ci-avant l'ont étaient faite sous l'emprise de l'humour (rabajoie s'abstenir de toute remarque)

Commentaires

Clémence

héhéhé...*ne répondra rien* ^^
et noooon au surplus de spooort!
*auto-applause*

Onirian

Je dois bien avouer, que autant j'apprécie les sports de combat (Les lames sont très apprécié du coté d'Istia ^_^), autant le sport "pour le sport" m'a toujours laissé au mieux, vaguement dubitatif.
Courrir pendant une heure en rond autour d'un grand terrain n'a jamais su eveiller en moi... euh... rien du tout en fait.

Nihamar

La course à pied.

c'est une attitude transcendantale, qui relie son moi-intérieur au reste de l'univers-psychique par le biais de l'effort. le cercle autour du quel on tourne est une représentation des cercles de vie dont chaque être vivant est le centre d'un. c'est ainsi que les sportif devinrent l'élite de leur époque en différent moment de l'Histoire car leurs perceptions synapticosensoriels les illuminent de la lumière de sage, qui rend respectable le jeune et inoubliable l'ancien. Il font partis de ces gens qui en racontant leur vie peuvent se lever la main droite sur le c?ur et la main gauche dans les nues pour s'écrier : "exelcior".

Nihamar c?ur vaillant d'éranos!!!

SLo

Mais quand toute leur famille aura été passée par le fil de l'épée pendant qu'ils couraient en rond, personne ne subsistera pour louer la beauté de leurs efforts et de l'exercice physique.
Et moi j'ai encore assez de neuro-transmetteurs pour élever ma claymore et l'abattre sur la tête des sportifs.

SLo, barbare pantouflarde
(rebonjour Oneira !)

Nihamar

Fanfaronne pantouflarde, ce n'est point la vantardise qui mène aux hauts faits. Mais c'est au faîte de la vantardise que la défaite a le plus d'effet.

Balan

Fi de la fin, la faim de hauts faits fait faire aux fées des fêtes au faîtes de la félicité.

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Balan, ça, c'est fait.