Je rancune la proxémie, les champs lexicaux, les ressources introuvables, l'inspiration qui fuit, le manque d'habileté, les néons brûlants, les rayures (celles des écrans, pas celles des chaussettes), les pointes plates, les moustiques, les bêtes-à-îîîîî, les journées de moins de 40 heures et le treizième oeuf qui ne rentre jamais sans graves conséquences dans la boîte de douze déjà pleine.
Et c'est bien assez pour une journée.
Et c'est bien assez pour une journée.