Je rancune (fort !) les montagnes oneiriennes. Déjà, y'en a trop. Ensuite, y'en a beaucoup trop.
Et puis je rancune les pixels morts. Et les facteurs. Et les tuiles qui se cassent. Et les trucs qui arrivent alors qu'on ne veut pas. Et les trucs qu'on voudrait, et qui n'arrivent pas. Et le temps. Et le chaud. Et les ventilateurs qui sentent le plastique neuf. Et les moustiques. Et les anti-moustiques. Et les chats qui mangent les mulots. Et les gens qui regardent par la fenêtre. Et la serrure de l'entrée. Et les auteurs de fantasy. Et les malentendus. Et les rayures. Et les scanners. Et surtout, la mauvaise humeur... :o/
Et puis je rancune les pixels morts. Et les facteurs. Et les tuiles qui se cassent. Et les trucs qui arrivent alors qu'on ne veut pas. Et les trucs qu'on voudrait, et qui n'arrivent pas. Et le temps. Et le chaud. Et les ventilateurs qui sentent le plastique neuf. Et les moustiques. Et les anti-moustiques. Et les chats qui mangent les mulots. Et les gens qui regardent par la fenêtre. Et la serrure de l'entrée. Et les auteurs de fantasy. Et les malentendus. Et les rayures. Et les scanners. Et surtout, la mauvaise humeur... :o/