Culture des nains d'Oneira
Le lai d'Ermu, "Barbe et Bâton"
Il faut être petit pour pouvoir devenir grand
Et ceci mes amis est valable de tous temps
Et pour vous le prouver écoutez ce soir
Les faits d'Ermu-le-vif, voici son histoire
Bien fait de sa personne, barbu et mineur
Il n'en faut guère plus à un nain pour trouver le bonheur
Avec sa compagnie lors creusant un boyau
Ils perdent leur lanterne et ne trouvent de joyaux
Par les jurons des nains, forts dits et peu subtils
Est tiré de son sommeil le géant Erbenthil
"Que vous aventurez en ma demeure souterraine
Foin d'or et trésors, de ma colère souveraine
Vous payerez de votre sang, le tribut de vos peines"
La lutte s'engage quoique semblant bien vaine
Tandis que résonnent les râles des tués
Ermu sort son arme et se prépare à frapper
A grands renforts de bonds et de galipettes
Ermu tourmente le géant et s'accroche à sa tête
Il frappe comme un sourd du plus fort qu'il le peut
De ses coups ne s'échappent que d'étranges bruits boiteux
"Cruel coup du sort ! Ma lame est tombée
Qu'importe géant, je vais te massacrer !"
Et c'est armé d'un bâton et non plus d'une hache
Qu'Ermu abat le monstre tel le merlin une vache
Avec les survivants il s'en retourne en héros
Gagne moult récompenses, présents et lingots
Malgré toute sa fortune, au grand dam des forgerons
Plus jamais une lame n'ornera son bâton
De nos jours il est trop souvent oublié
Que force et ruse permettent plus que le meilleur acier.
Et ceci mes amis est valable de tous temps
Et pour vous le prouver écoutez ce soir
Les faits d'Ermu-le-vif, voici son histoire
Bien fait de sa personne, barbu et mineur
Il n'en faut guère plus à un nain pour trouver le bonheur
Avec sa compagnie lors creusant un boyau
Ils perdent leur lanterne et ne trouvent de joyaux
Par les jurons des nains, forts dits et peu subtils
Est tiré de son sommeil le géant Erbenthil
"Que vous aventurez en ma demeure souterraine
Foin d'or et trésors, de ma colère souveraine
Vous payerez de votre sang, le tribut de vos peines"
La lutte s'engage quoique semblant bien vaine
Tandis que résonnent les râles des tués
Ermu sort son arme et se prépare à frapper
A grands renforts de bonds et de galipettes
Ermu tourmente le géant et s'accroche à sa tête
Il frappe comme un sourd du plus fort qu'il le peut
De ses coups ne s'échappent que d'étranges bruits boiteux
"Cruel coup du sort ! Ma lame est tombée
Qu'importe géant, je vais te massacrer !"
Et c'est armé d'un bâton et non plus d'une hache
Qu'Ermu abat le monstre tel le merlin une vache
Avec les survivants il s'en retourne en héros
Gagne moult récompenses, présents et lingots
Malgré toute sa fortune, au grand dam des forgerons
Plus jamais une lame n'ornera son bâton
De nos jours il est trop souvent oublié
Que force et ruse permettent plus que le meilleur acier.