Géographie d'Istia
stia est l'île principale de la mer intérieure d'Oneira. Elle s'étend sur un peu moins de trois estimes d'Est en Ouest et du Nord au Sud. Ce territoire, qui pourrait sembler restreint au premier abord, offre une richesse de paysages et de ressouces particulièrement variés. On y trouve des montagnes au Nord, des marais au Sud, de grandes zones de plaine et de forêts d'Est en Ouest, offrant ainsi un panel géographique qui a su fournir aux istiens toutes les ressources dont ils ont eu besoin, et qui ont permis les longues périodes d'autarcie que l'île a connues tout au long de son histoire. En effet, le sol d'Istia est riche, la terre fertile, les montagnes recèlent du minerai en abondance, et une bonne gestion des forêts depuis de nombreux siècles assure du bois en quantité (aux environs de l'an 500 les forêts ont été réduites au quart de leur superficie actuelle suite à une longue surexploitation). Notons encore que le sol d'Istia offre en certains endroits une quantité non négligeable de pierres et métaux précieux (or et diamants principalement). Ces mines produisent peu en comparaison des trois grandes mines de diamant d'Arkfeld, par exemple, mais leur production est d'une grande qualité.
Tout le pourtour côtier de l'île est rendu relativement dangereux (récifs, courants et vents puissants, etc...), et participe à la protection d'Istia d'une attaque massive, mais réduit également la suprématie d'Istia sur la mer d'Oivan. Cependant, certains ports, comme celui d'Oimarin au sud-ouest d'Istia, bénéficient d'une bonne ouverture sur le large, et sont devenus, de fait, des ports de commerce particulièrement réputés.
L'île d'Istia comporte peu de "grandes" villes - une dizaine tout au plus -, l'essentiel de la population étant relativement bien répartie sur le territoire, en petits villages.
Sev'Istia (120 000 habitants) : La capitale, et de loin la plus peuplée des villes istiennes. La population résidente est quasi totalement humaine, mais depuis l'ouverture de l'ile de plus en plus de membres d'autres peuples cotoyent la ville. Il est donc tout à fait courant d'y rencontrer des représentants de tous peuples d'Istia. Il est intéressant de noter que depuis le grand tremblement de terre de 986, l'ancien nom de Nerllin est de plus en plus fréquemment utilisé, à la place de celui, choisi en l'an 0, de Sev'Istia.
Oimarin (78 000 habitants) : Le premier port d'Istia, résolument axé vers la mer. Fait beaucoup de commerce avec le Sarelos et, dans une moindre mesure, avec tous les pays de l'ouest d'Istia.
Ruin'Iste (20 000 habitants) : C'est la plus petite des "grandes villes" d'Istia. Cependant elle est réputée pour être la plus ancienne cité de l'île, et l'un des hauts lieu du culte du Rêve. La tradition veut que chaque prêtre passe au moins une fois en pélerinage au temple se situant à coté de Ruin'Iste. La côte est quasi impraticable, sauf pour de toutes petites embarquations.
Sevmar (80 000 habitants) : Située au milieu des collines du Sud istien, cette ville fait beaucoup d'élevage. Elle fournit à elle seule 50% de la viande consommée sur l'île.
Pyrael (60 000 habitants) : Ville à vocation essentiellement agricole. Elle s'est bâtie sur les rives du fleuve qui traverse l'île du Nord au Sud. Un système d'irigation ingénieux en fait une ville capable de produire avec efficacité des cultures nécessitant beaucoup d'eau comme, par exemple, le riz.
Nelay (45 000 habitants) : Cette ville, capitale de la région montagneuse du Nord d'Istia, fournit toute l'île en matériaux de construction (pierre, fer...) et en matériaux précieux.
Senva (36 000 habitants) et Sencay (37 000 habitants) : Senva et Sencay (ou Senay) sont deux ville "jumelles". La légende raconte qu'elles ont été fondées par deux frères rivaux. Au moment de comparer leurs villes, ils se seraient rendu compte de l'extrême ressemblance des deux villes, ce qui les aurait réconcilliés durablement. La ressemblance est moins nette aujourd'hui, mais certains bâtiments anciens portent encore la marque de cette gémellité.
Sarm ou Sarni (35 000 habitants) : Construite à l'origine en haut d'une falaise, la ville a été entièrement détruite lors de la guerre de l'an 0. Une poigné de survivants a entrepris la recontruction de la ville à son emplacement exact (mais de nombreux mètres plus bas qu'à l'origine, suite à l'effondrement de la falaise). Cette ville étonnante fournit de nombreux matériaux de construction à toute l'île.
Venvael (45 000 habitants) : Cette ville est entre autres réputée pour les vents qui souffent sans relâche depuis la côte. Une communauté de prêtres de l'Air s'y est d'ailleurs installée. La ville leur a fourni sanctuaire et abri, en échange de quoi ils s'attachent à appaiser le vent les jours de tempête.
Oimarin (78 000 habitants) : Le premier port d'Istia, résolument axé vers la mer. Fait beaucoup de commerce avec le Sarelos et, dans une moindre mesure, avec tous les pays de l'ouest d'Istia.
Ruin'Iste (20 000 habitants) : C'est la plus petite des "grandes villes" d'Istia. Cependant elle est réputée pour être la plus ancienne cité de l'île, et l'un des hauts lieu du culte du Rêve. La tradition veut que chaque prêtre passe au moins une fois en pélerinage au temple se situant à coté de Ruin'Iste. La côte est quasi impraticable, sauf pour de toutes petites embarquations.
Sevmar (80 000 habitants) : Située au milieu des collines du Sud istien, cette ville fait beaucoup d'élevage. Elle fournit à elle seule 50% de la viande consommée sur l'île.
Pyrael (60 000 habitants) : Ville à vocation essentiellement agricole. Elle s'est bâtie sur les rives du fleuve qui traverse l'île du Nord au Sud. Un système d'irigation ingénieux en fait une ville capable de produire avec efficacité des cultures nécessitant beaucoup d'eau comme, par exemple, le riz.
Nelay (45 000 habitants) : Cette ville, capitale de la région montagneuse du Nord d'Istia, fournit toute l'île en matériaux de construction (pierre, fer...) et en matériaux précieux.
Senva (36 000 habitants) et Sencay (37 000 habitants) : Senva et Sencay (ou Senay) sont deux ville "jumelles". La légende raconte qu'elles ont été fondées par deux frères rivaux. Au moment de comparer leurs villes, ils se seraient rendu compte de l'extrême ressemblance des deux villes, ce qui les aurait réconcilliés durablement. La ressemblance est moins nette aujourd'hui, mais certains bâtiments anciens portent encore la marque de cette gémellité.
Sarm ou Sarni (35 000 habitants) : Construite à l'origine en haut d'une falaise, la ville a été entièrement détruite lors de la guerre de l'an 0. Une poigné de survivants a entrepris la recontruction de la ville à son emplacement exact (mais de nombreux mètres plus bas qu'à l'origine, suite à l'effondrement de la falaise). Cette ville étonnante fournit de nombreux matériaux de construction à toute l'île.
Venvael (45 000 habitants) : Cette ville est entre autres réputée pour les vents qui souffent sans relâche depuis la côte. Une communauté de prêtres de l'Air s'y est d'ailleurs installée. La ville leur a fourni sanctuaire et abri, en échange de quoi ils s'attachent à appaiser le vent les jours de tempête.
Lelnë-Linn, géographe.