Histoire d'Istia
Histoire ancienne d'Istia
es archives les plus anciennes que compte Oneira ne font que rarement mention d'Istia sous son nom actuel dont on date la première occurrence aux alentours de -4000. Cependant, de nombreux textes plus anciens font mention d'un "grand empire de la mer d'Oivan" qui ne laisse guère de doutes quant à son identité. L'abondance de vestiges architecturaux très anciens sur l'île d'Istia laisse penser que l'île fut très tôt habitée par les humains. De manière assez troublante, les rares tentatives d'approche de Luvao ont révélé la présence de ruines d'un aspect très proche de celles que l'on peut encore observer encore aujourd'hui au Sud d'Istia, ce qui a poussé de très nombreux archéologues, historiens et géographes à élaborer une théorie selon laquelle avant la Guerre des Gardiens Istia aurait été bien plus vaste que ce qu'elle est aujourd'hui et aurait englobé l'actuelle Luvao ainsi, probablement, que l'Oel'Shek, et aurait ainsi constitué l'un des premiers grands empires d'Oneira qui nous reste aujourd'hui connu sous le nom d'empire de Luvao. De fait, les textes anciens concernant Luvao font état de deux immenses cités dominant l'empire, joignables par la terre : Tämin et Närllin la Rose (ce qui pourrait faire allusion à la couleur de la kahriste, pierre spécifique à l'île d'Istia) ; or, nous savons que la capitale de l'actuelle Istia ne fut nommée Sev'Istia qu'après sa reconstruction en l'an 0, alors que son nom lors de l'ancienne ère était "Nerllin", un mot remarquablement proche du nom de "Närllin" et qui, par ailleurs, n'est pas sans rappeler la traduction de la racine "rêve", "nel", en langue de Nalëln, l'antique langage des mages et des sorciers dont on trouve de nombreuses traces sur les plus anciens vestiges architecturaux en Istia. Hélas, la nature insulaire d'Istia l'a rendue particulièrement sensible aux différents cataclysmes ayant balayé l'Histoire d'Oneira soit, principalement, les grands bouleversements de la Guerre des Gardiens ainsi que la catastrophe magique de l'an 0. L'étude des fonds marins de la mer d'Oivan a par ailleurs révélé une profondeur relativement faible des eaux entre Istia et Luvao, et de nombreux géographes pensent qu'une première catastrophe magique, celle qui détruisit le grand Empire de Luvao en -8000 fit partiellement sombrer le territoire d'Istia et la sépara définitivement de Luvao. Cette théorie reste crédible notamment depuis l'étude poussée des récits de l'an 0 en Istia car l'on sait que la catastrophe magique de l'Edanel causa l'engloutissement de près de 40% de son territoire : si un tel fait fut possible en l'an 0, rien ne semble interdire qu'il n'ait été qu'une suite logique d'un premier épisode plus ancien.
Les premières mentions fiables que nous tenons de l'ancienne Istia nous sont délivrées par le bien connu Livre d'Argent qui retrace l'histoire de la grande Guerre des Gardiens, aux alentours de l'an -8000. On peut y lire que "Onirian vint dans la Brume par l'action des fées et de leurs Pierres, et il y connut Erana à qui il parla du pays dont il était le prince, et qui était tout de soleil et de pierre aux reflets de couchant, veinées par les rêves d'Addina qui enchantaient encore les nuits de tous les hommes". Ce même texte fait plus loin mention de la chute de Luvao "qui entraîna avec elle sa soeur Närllin la Rose et les sépara à jamais", appuyant une fois encore l'opinion des alchimistes d'aujourd'hui. Le personnage d'Onirian se retrouvera bien plus tard lors des premières mentions réelles d'Istia. Dans un texte anonyme, le Manuscrit d'Enimön, daté des alentours de l'an -4000, il est dit : "Alors la belle île d'Istia sentit que le sombre Empire menaçait encore, et elle appela le Gardien qui l'avait sauvée autrefois, Onirian, et le refit roi afin qu'il veille à protéger le monde de la dame Iste". Curieusement, ce texte emble correspondre à l'époque où l'Ar'Thard, l'autre grand acteur, face à Luvao, de la Guerre des Gardiens, connût de grands troubles, notamment au sein de son culte, et le Manuscrit d'Enimön semble faire mention de semblables événements passés, ce qui rapproche une fois encore l'ancienne Istia de Luvao et des événements de -8000. A partir de ce manuscrit, les mentions d'Istia sont fréquentes. On en trouve notamment de nombreuses traces au Nord et à l'Est, essentiellement en Per'Dellin et en Ar'Lumn et, plus rarement, en Mirë-Mean et au Dye'Nelya. Toutefois, si les allusions sont fréquentes à l'étranger, presque aucun texte istien ne nous est parvenu, Istia ayant été particulièrement touchée lors de la Guerre de l'an 0 qui en a détruit la quasi-totalité des villes, dont surtout les très riches villes côtières, aujourd'hui englouties.
Les premières mentions fiables que nous tenons de l'ancienne Istia nous sont délivrées par le bien connu Livre d'Argent qui retrace l'histoire de la grande Guerre des Gardiens, aux alentours de l'an -8000. On peut y lire que "Onirian vint dans la Brume par l'action des fées et de leurs Pierres, et il y connut Erana à qui il parla du pays dont il était le prince, et qui était tout de soleil et de pierre aux reflets de couchant, veinées par les rêves d'Addina qui enchantaient encore les nuits de tous les hommes". Ce même texte fait plus loin mention de la chute de Luvao "qui entraîna avec elle sa soeur Närllin la Rose et les sépara à jamais", appuyant une fois encore l'opinion des alchimistes d'aujourd'hui. Le personnage d'Onirian se retrouvera bien plus tard lors des premières mentions réelles d'Istia. Dans un texte anonyme, le Manuscrit d'Enimön, daté des alentours de l'an -4000, il est dit : "Alors la belle île d'Istia sentit que le sombre Empire menaçait encore, et elle appela le Gardien qui l'avait sauvée autrefois, Onirian, et le refit roi afin qu'il veille à protéger le monde de la dame Iste". Curieusement, ce texte emble correspondre à l'époque où l'Ar'Thard, l'autre grand acteur, face à Luvao, de la Guerre des Gardiens, connût de grands troubles, notamment au sein de son culte, et le Manuscrit d'Enimön semble faire mention de semblables événements passés, ce qui rapproche une fois encore l'ancienne Istia de Luvao et des événements de -8000. A partir de ce manuscrit, les mentions d'Istia sont fréquentes. On en trouve notamment de nombreuses traces au Nord et à l'Est, essentiellement en Per'Dellin et en Ar'Lumn et, plus rarement, en Mirë-Mean et au Dye'Nelya. Toutefois, si les allusions sont fréquentes à l'étranger, presque aucun texte istien ne nous est parvenu, Istia ayant été particulièrement touchée lors de la Guerre de l'an 0 qui en a détruit la quasi-totalité des villes, dont surtout les très riches villes côtières, aujourd'hui englouties.
Istia, de l'an 0 Ã nos jours
a véritable histoire d'Istia ne nous est connue que depuis l'an 0. Les terribles ravages de cette guerre, les incendies survenus dans les temples et les bibliothèques de tout Oneira, ont détruit, nous le savons bien, l'intégralité des archives datant d'un temps plus ancien. Ainsi, le premier visage que nous offre Istia après le grand cataclysme du début de notre ère, est celui d'une reconstruction massive, et d'une reconquête complète du territoire de l'île grâce aux rares prêtres du Rêve survivants. Nous gardons encore à ce jour quelques témoignages écrits témoignant de l'opiniâtreté et du sens de l'organisation de ces prêtres courageux, seuls à même de réussir cette tâche.
Istia fut ainsi probablement l'un des pays d'Oneira les plus rapides à se reconstruire après l'an 0, mu par un rejet total de la guerre sous toutes ses formes, par une volonté générale d'entraide, et surtout par le souvenir de l'ancienne grandeur d'Istia que ses habitants souhaitaient retrouver dans le futur.
Ainsi s'écoulèrent les quatre cents premières années de l'île après la grande guerre, sans qu'aucun conflit ni aucune difficulté ne vienne menacer cette période de l'histoire. Mais la force d'Istia, bâsée sur le refus de la guerre, s'est avéré alors sa plus grande faiblesse. En effet, entre l'an 400 et l'an 500, l'île, particulièrement riche en ressources, et surtout particulièrement mal défendue, fut la proie d'innombrables pirates et raids de pays voisins (noramment de l'Ar'Lumn, de l'Ar'Thard, et dans une moindre mesure de l'île Shek).
Cette période a été très néfaste pour l'île, stoppant en quelque sorte son élan et érodant sa grande prospérité, surtout entre 470 et 480 environ, où, aux raids étrangers s'est ajoutée une longue période de mauvaises récoltes, accentuant gravement le mécontentement de la population. Suite à cette période, une politique de fermeture totale des frontières a été mise en place, stoppant net le commerce avec le reste d'Oneira. L'on observe alors une fortification de l'île, la création massive de garnisons tout autour de l'île, l'entraînement d'une armée d'élite (qui existe encore aujourd'hui sous le nom de "Garde d'Istia" ou "Oname-Istia") peu nombreuse mais très efficace, notemment contre les raids étrangers, et la spécialisation d'une flotte guerrière composée de petits navires rapides et redoutables (employés à couler les navires des raids étrangers, où à massacrer leur équipage pour prendre le contrôle du bateau, plus tard revendu à son pays d'origine).
La politique de fermeture et d'hyper-protection des frontières s'est avérée très efficace, puisqu'en quelques années les diverses difficultés auxquelles Istia faisait face ont disparu, mais Istia s'est petit à petit coupée du reste d'Oneira pour vivre en totale autarcie. Istia vivait alors "au ralenti", sinon pour ce qui est de semer la panique parmi les formations pirates ou étrangères passant à proximité de l'île (notons que la flotte d'Istia était à cette époque d'une piètre efficacité en pleine mer).
Cet état de fait a perduré environ jusqu'en l'an 600 où, petit à petit, Istia s'est réouverte au monde extérieur.
Mais alors que l'île reprenait force dans le visage politique d'Oneira, Istia fut attaquée et envahie en 653 par l'Ar'Lumn. La guerre a duré plus de dix ans, ruinant une nouvelle fois le pays, mais s'est soldée par la victoire d'Istia dont la population pratiquait une guerrilla active contre les armées d'Ar'Lumn, usant petit à petit sa supériorité en nombre, armement et expérience.
Fidèle à sa ligne de conduite depuis plus de deux-cents ans, Istia fit suivre la guerre d'une seconde période de fermeture et de protection des frontières, le temps de retrouver équilibre et prospérité.
Vers l'an 750, Istia connut une nouvelle période faste, liée à de nombreux accords commerciaux avec l'île Shek et le Sarelos (certains de ces accords sont encore en vigueur à ce jour). Istia a beaucoup gagné en sagesse et en puissance à cette période de son histoire, trouvant enfin le juste accord entre défense du territoire et ouverture sur le reste d'Oneira.
Cependant une attaque-éclair de l'Ar'Thard en 826 (basée au Dye'Nelya occupé depuis les années 630) a réussi à mettre totalement en déroute les armées d'Istia, mettant le pays à genoux en moins de deux semaines, achevant ainsi une autre période faste d'Istia. Etrangement, la population d'Istia s'est montrée soumise presque immédiatement, jusqu'à la fameuse nuit dite "du Cauchemar Eveillé" où la population s'est soulevée au même moment partout dans l'île, armée de couteaux, fourches, bâtons et autres armes dérisoires, pour attaquer comme un seul homme toutes les garnisons thardiennes. Cette nuit compte pour l'une des plus meurtières de toute l'histoire d'Istia (et peut-être d'Oneira), mais a marqué sa victoire définitive sur l'Ar'Thard. Les archives consultables dans le grand temple du Rêve de Sev'Istia nous disent que cette nuit de révolte fut organisée par les hauts prêtres du Rêve, ayant communiqué l'idée de cette attaque à leurs subordonnés dans leurs songes, eux-même l'ayant transmise à toute la population d'Istia, leur donnant l'image, l'heure et la manière d'attaquer. Les habitants d'Istia étant pour la plus grande majorité capables de faire la différence entre un simple rêve et un message, ont compris aisément et ont ainsi pu attaquer simultanément au milieu de la nuit, sans que l'armée d'Ar'Thard ait perçu jusqu'alors la moindre résistance de la part de la population. Notons encore que cette nuit a été nommée "nuit du cauchemar éveillé" en raison, d'une part, du grand nombre de morts, mais aussi parce que tous les thardiens ont reçu le même rêve et que, lorsque l'attaque a débuté, la plupart des soldats ne savaient pas encore s'ils rêvaient ou non.
Certains historiens considèrent que la chute de la puissance d'Ar'Thard s'est scellée cette fameuse nuit. En effet, cinq ans plus tard, l'Ar'Thard se retirait également du Dye'Nelya.
Mais bien que cette victoire pour le moins originale figure désormais dans tous les manuels d'histoire ou de techniques de guerre, elle a laissé en Istia une plaie béante à l'origine d'une nouvelle période de renfermement de l'île, jusqu'au grand tremblement de terre de 986 ayant marqué la réouverture du pays (pour des raisons incompréhensibles à ce jour), la relance d'accords commerciaux et le début manifeste d'une nouvelle période faste.
Istia fut ainsi probablement l'un des pays d'Oneira les plus rapides à se reconstruire après l'an 0, mu par un rejet total de la guerre sous toutes ses formes, par une volonté générale d'entraide, et surtout par le souvenir de l'ancienne grandeur d'Istia que ses habitants souhaitaient retrouver dans le futur.
Ainsi s'écoulèrent les quatre cents premières années de l'île après la grande guerre, sans qu'aucun conflit ni aucune difficulté ne vienne menacer cette période de l'histoire. Mais la force d'Istia, bâsée sur le refus de la guerre, s'est avéré alors sa plus grande faiblesse. En effet, entre l'an 400 et l'an 500, l'île, particulièrement riche en ressources, et surtout particulièrement mal défendue, fut la proie d'innombrables pirates et raids de pays voisins (noramment de l'Ar'Lumn, de l'Ar'Thard, et dans une moindre mesure de l'île Shek).
Cette période a été très néfaste pour l'île, stoppant en quelque sorte son élan et érodant sa grande prospérité, surtout entre 470 et 480 environ, où, aux raids étrangers s'est ajoutée une longue période de mauvaises récoltes, accentuant gravement le mécontentement de la population. Suite à cette période, une politique de fermeture totale des frontières a été mise en place, stoppant net le commerce avec le reste d'Oneira. L'on observe alors une fortification de l'île, la création massive de garnisons tout autour de l'île, l'entraînement d'une armée d'élite (qui existe encore aujourd'hui sous le nom de "Garde d'Istia" ou "Oname-Istia") peu nombreuse mais très efficace, notemment contre les raids étrangers, et la spécialisation d'une flotte guerrière composée de petits navires rapides et redoutables (employés à couler les navires des raids étrangers, où à massacrer leur équipage pour prendre le contrôle du bateau, plus tard revendu à son pays d'origine).
La politique de fermeture et d'hyper-protection des frontières s'est avérée très efficace, puisqu'en quelques années les diverses difficultés auxquelles Istia faisait face ont disparu, mais Istia s'est petit à petit coupée du reste d'Oneira pour vivre en totale autarcie. Istia vivait alors "au ralenti", sinon pour ce qui est de semer la panique parmi les formations pirates ou étrangères passant à proximité de l'île (notons que la flotte d'Istia était à cette époque d'une piètre efficacité en pleine mer).
Cet état de fait a perduré environ jusqu'en l'an 600 où, petit à petit, Istia s'est réouverte au monde extérieur.
Mais alors que l'île reprenait force dans le visage politique d'Oneira, Istia fut attaquée et envahie en 653 par l'Ar'Lumn. La guerre a duré plus de dix ans, ruinant une nouvelle fois le pays, mais s'est soldée par la victoire d'Istia dont la population pratiquait une guerrilla active contre les armées d'Ar'Lumn, usant petit à petit sa supériorité en nombre, armement et expérience.
Fidèle à sa ligne de conduite depuis plus de deux-cents ans, Istia fit suivre la guerre d'une seconde période de fermeture et de protection des frontières, le temps de retrouver équilibre et prospérité.
Vers l'an 750, Istia connut une nouvelle période faste, liée à de nombreux accords commerciaux avec l'île Shek et le Sarelos (certains de ces accords sont encore en vigueur à ce jour). Istia a beaucoup gagné en sagesse et en puissance à cette période de son histoire, trouvant enfin le juste accord entre défense du territoire et ouverture sur le reste d'Oneira.
Cependant une attaque-éclair de l'Ar'Thard en 826 (basée au Dye'Nelya occupé depuis les années 630) a réussi à mettre totalement en déroute les armées d'Istia, mettant le pays à genoux en moins de deux semaines, achevant ainsi une autre période faste d'Istia. Etrangement, la population d'Istia s'est montrée soumise presque immédiatement, jusqu'à la fameuse nuit dite "du Cauchemar Eveillé" où la population s'est soulevée au même moment partout dans l'île, armée de couteaux, fourches, bâtons et autres armes dérisoires, pour attaquer comme un seul homme toutes les garnisons thardiennes. Cette nuit compte pour l'une des plus meurtières de toute l'histoire d'Istia (et peut-être d'Oneira), mais a marqué sa victoire définitive sur l'Ar'Thard. Les archives consultables dans le grand temple du Rêve de Sev'Istia nous disent que cette nuit de révolte fut organisée par les hauts prêtres du Rêve, ayant communiqué l'idée de cette attaque à leurs subordonnés dans leurs songes, eux-même l'ayant transmise à toute la population d'Istia, leur donnant l'image, l'heure et la manière d'attaquer. Les habitants d'Istia étant pour la plus grande majorité capables de faire la différence entre un simple rêve et un message, ont compris aisément et ont ainsi pu attaquer simultanément au milieu de la nuit, sans que l'armée d'Ar'Thard ait perçu jusqu'alors la moindre résistance de la part de la population. Notons encore que cette nuit a été nommée "nuit du cauchemar éveillé" en raison, d'une part, du grand nombre de morts, mais aussi parce que tous les thardiens ont reçu le même rêve et que, lorsque l'attaque a débuté, la plupart des soldats ne savaient pas encore s'ils rêvaient ou non.
Certains historiens considèrent que la chute de la puissance d'Ar'Thard s'est scellée cette fameuse nuit. En effet, cinq ans plus tard, l'Ar'Thard se retirait également du Dye'Nelya.
Mais bien que cette victoire pour le moins originale figure désormais dans tous les manuels d'histoire ou de techniques de guerre, elle a laissé en Istia une plaie béante à l'origine d'une nouvelle période de renfermement de l'île, jusqu'au grand tremblement de terre de 986 ayant marqué la réouverture du pays (pour des raisons incompréhensibles à ce jour), la relance d'accords commerciaux et le début manifeste d'une nouvelle période faste.
Extrait de Sous la garde d'Iste, par Enlis'Sar, historien.